La traversée du Long Island Sound

Les phares du détroit de Long Island entre Orient Point,
à l’extrémité du bras nord-est de Long Island,
jusqu’à New London, Connecticut,
le 4 septembre 2018.

Il fait beau et chaud aujourd’hui.
Embarquez sur le traversier avec nous.
La brise est rafraîchissante …

En attendant d’embarquer sur le traversier à Orient Point sur Long Island, alors que le précédent traversier vient de quitter le quai en direction de New London CT.

Il faut d’abord passer entre le phare de Orient Point, à babord, et Plum Island, à tribord ; un regard attentif nous permet de discerner un autre phare sur Plum Island, abandonné celui-là, …

Le phare de Orient Point
Le phare de Orient Point, entre Long Island et Plum Island

… puis, le phare de Race Rock, sur un rocher qui pointe à l’horizon, au ras de la surface de l’eau, au milieu du détroit de Long Island, tout près de Fishers Island…

Le phare de Race Rock, au milieu du détroit de Long Island
Le phare de Race Rock

environ trois quarts d’heure plus tard, le phare de New London Ledge, lui aussi perché sur un rocher, guide les navigateurs vers New London, à l’entrée de la rivière Connecticut…

Le phare de New London Ledge
Le phare de New London Ledge

enfin, la traversée se termine lorsqu’on passe devant le phare du havre de New London…

Le phare de New London Harbour
Le phare de New London Harbour





Une randonnée dans le temps

La Société horticole de Worcester au Massachusetts a été fondée au milieu du 19e siècle. Ce n’est toutefois en 1986 que la Société crée son jardin botanique.

La vocation d’une société horticole se reflète dans la conception du Tower Hill Botanic Garden. On y a ajouté un souci de conscientisation à la nécessité de préserver l’environnement naturel. On y a aménagé des jardins « écologiques », des espaces où on laisse la nature reprendre ses droits sur une ferme qui avait été cultivée pendant deux siècles jusqu’à ce qu’on l’abandonne dans la première moitié du 20e siècle.

Suivez le randonneur qui se promène à travers ces jardins « naturels » — où on retrouve par ailleurs l’esprit romantique des « folies » des jardins anglais du 19e siècle — jusqu’au belvédère qui lui offre un point de vue splendide sur les Appalaches.