Au Jardin Métis…

Un globe en violet


Un bijou végétal



illuminations

l’œil saisi d’être…



d’autres contemplations des arbres…








Souvenirs d’août

Une promenade au Jardin de Métis-sur-Mer — 23 août 2021

étoile
une fleur dans le bain saluant ses voisines
verdures
écumes voguant sur une vague verte
collantes
flottant dans la brise
cascade végétale
le coin touffu
laisser faire
bordure
entre les veines minérales
sous le pommier
dernier regard


Jardin de lumières – 2019

… une longue promenade en début de soirée dans les jardins chinois, des premières nations, et japonais, du Jardin botanique de Montréal…

 

 

 

 

 

 

 

Jardin de lumière – 2018

Un essai photographique, pour le plaisir de l’oeil : prises d’images à l’automne 2018, dans le jardin japonais du Jardin botanique de Montréal, en soirée, dans le cadre de l’événement Jardin en lumière.

Cueillettes d’images

Ici et là,

… dans des serres et des jardins publics, depuis la fin de l’été, tout au long de l’automne…

… tout simplement pour le plaisir

Une randonnée dans le temps

La Société horticole de Worcester au Massachusetts a été fondée au milieu du 19e siècle. Ce n’est toutefois en 1986 que la Société crée son jardin botanique.

La vocation d’une société horticole se reflète dans la conception du Tower Hill Botanic Garden. On y a ajouté un souci de conscientisation à la nécessité de préserver l’environnement naturel. On y a aménagé des jardins « écologiques », des espaces où on laisse la nature reprendre ses droits sur une ferme qui avait été cultivée pendant deux siècles jusqu’à ce qu’on l’abandonne dans la première moitié du 20e siècle.

Suivez le randonneur qui se promène à travers ces jardins « naturels » — où on retrouve par ailleurs l’esprit romantique des « folies » des jardins anglais du 19e siècle — jusqu’au belvédère qui lui offre un point de vue splendide sur les Appalaches.

Promenades au jardin en juillet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

au jardin alpin

 

cascade jaune

ruissellement de couleurs

ondulations

 

 

bourdonnement

 

 

 

des pommiers en fleur

bourdonnement du travail

neige de pétales

 

 

 

 

Papillonnage dans les serres

Lundi, le 6 mars 2017

Tôt le matin, dès le début de la semaine du congé scolaire… les papillons sont en liberté dans la grande serre du Jardin botanique de Montréal, au grand plaisir des enfants, de leurs parents et grands-parents.

Tant qu’à y être, bien que ce soit les papillons qui nous y attirent, nous saisissons aussi l’occasion pour aller prendre un bain de verdure, pour papillonner nous-mêmes dans toutes les serres, à travers les bonsaïs, les cactus et les succulents, les épiphytes, les mousses espagnoles, les fruits tropicaux, jusqu’aux fougères, en passant par les orchidées.

ps : n’hésitez pas à cliquer sur les photos pour les agrandir

… par ici pour papillonner… pssst, y a des orchidées

Une deuxième fois, cinq ans plus tard

Le Jardin Lauritzen – le 3 juillet 2016

lauritzen-2016-1

Nous avions conservé un bon souvenir de notre premier séjour à Omaha, il y a cinq ans. C’est donc avec plaisir que nous nous y sommes arrêtés, au cours de la longue fin de semaine du congé de la fête nationale américaine, sur la route du retour de notre virée à travers les états du Mid-Ouest et du Sud-Ouest américain au printemps dernier.

Nous retournons rarement visiter des lieux une deuxième fois. Néanmoins, le Jardin Lauritzen de Omaha nous avait impressionnés ; nous étions curieux de voir comment il avait évolué depuis notre première visite.

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un matin d’été

couleurs palpitantes

frétillement des cigales

jardin d’ombres intense

... au jardin d'ombres, souvenir de juillet
au jardin des sous-bois, en juillet

Le jardin de Cheyenne

Jardin botanique de Cheyenne - Labyrinthe

Cheyenne, Wyoming – Le 28 juin 2016

Ce jour-là, pour la première fois depuis presque deux mois, nous nous sommes dirigés vers l’est.

Je croyais que je mettrais, ce matin-là, les Rocheuses derrière moi, et que je ne les reverrais plus pour longtemps, sinon jamais. Je me trompais.

Sur l’autoroute I-80, à partir de Laramie, nous apercevons ce qui semble être une longue colline, qui barre l’horizon. Nous ne voyons pas où mène la route.

C’est que rendu dans un détour, nous nous rendons compte que nous sommes en train de nous engager « dans » cette « colline ». Celle-ci nous masque ce qui deviendra une longue ascension… qui nous amènera, quelques miles plus loin et, en quelques minutes, quelque 2 500 pieds plus haut, à environ 8 700 pieds d’altitude, le point le plus élevé de toute notre virée américaine.

Le spectacle qui se déroule devant nous, nous coupe le souffle, presque littéralement. Le moteur de notre autocaravane est assez puissant. Mais il faut tout de même passer en 3è. Nous ralentissons, jusqu’au point le plus élevé : l’autocaravane reprend son élan, et nous avons alors l’impression de planer sur un plateau. Puis, très graduellement, l’altimètre baisse. Une heure plus tard, nous arrivons à Cheyenne, la capitale du Wyoming.

Il est trop tôt pour nous rendre au camping, trop tôt aussi pour les musées, qui n’ouvrent qu’à 11 h 00 pour la plupart. Nous décidons de nous rendre au Jardin botanique de Cheyenne.

Nous n’avions pas d’attente à l’égard de ce jardin. Et, suite à l’expérience vécue au Jardin botanique de Sante Fe, nous hésitions à nous y rendre. Ç’aurait été dommage de ne pas le visiter. Ce jardin est un véritable bijou.

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Flânerie au Jardin botanique de Santa Fe

Dimanche matin, Fête des pères

Il y a peu d’ombre dans le Jardin botanique de Santa Fe. Et il y fait chaud, même au début de la matinée, au mois de juin.

Quelques images prises en y flânant…

Santa Fe - Un coin du jardin botanique 5 Fallugia paradoxa

Santa Fe - Un coin du jardin botanique 3

Santa Fe - Un coin du jardin botanique 4

Santa Fe - Un coin du jardin botanique 2

Santa Fe - Un coin du jardin botanique

Six points de vue…

Jeudi, le 2 juin 2016

Une longue fainéantise dans les jardins du Jardin botanique du Missouri à Saint-Louis…

Le jardin ottoman, où s'adonner à la rêverie dans des temps très anciens
Le jardin ottoman, où s’adonner à la rêverie en des temps très anciens

 

Magnolia
Magnolia

 

Illumination sur la roseraie
Illumination sur la roseraie

 

Le jardin de buis
Le jardin de buis

 

Le jardin chinois
Le jardin chinois

 

Le jardin japonais, immense, dans tous les sens du terme...
Le jardin japonais, immense, dans tous les sens du terme…

évocation

des bourgeons velus

un héron discret s’étire

frissons sur l’étang

Printemps sur l'étang
L’étang du Jardin botanique, 16 avril 2016

l'étang

Le jardin d’ombre en automne

Le Jardin botanique de Montréal est composé de plusieurs jardins très différents les uns des autres — la cour des sens, les jardins des vivaces, des nouveautés, des plantes médicinales et odoriférantes, des arbustes et buissons, les jardin alpin et aquatique, celui du ruisseau fleuri, ainsi que les jardins autochtones du Québec, les coins du Québec et de Montréal, celui des Premières nations du Québec, et enfin les Jardins japonais et chinois.

Il faut des mois, voire des années pour apprendre à l’apprivoiser, à toutes les saisons.

Il y a un jardin qui porte bien son nom. Le jardin de l’ombre n’attire que les amateurs avertis. Il est un peu en retrait des autres ; la plupart des visiteurs passent à côté sans s’en rendre compte, en se dirigeant vers la Maison des arbres. Il faut y aller en été. J’y suis allé faire un tour avant hier, pour la dernière fois cette année probablement.

Quelques images du temps qui passe…


Des hostas capturent des rayons d’un soleil de plus en plus bas à l’horizon…

Éclatantes

Les dernières fleurs de l’aconit

Les dernières fleurs de l'ancolie

Un coin discret, littéralement à l’ombre

Jardin d'ombre