Road Trip : Deux jours sur l’autoroute I-25, de Santa Fe à Fort Collins

Première journée

Au Nouveau Mexique, entre Santa Fe et le Col de Raton… le plateau est semi-aride, peu à pas d’arbres, parfois quelques troupeaux de vaches… On nous avertit de faire attention à la faune…

Route I-25 NM 2
Un horizon hypnotisant, qui nous enivre, nous aspire… on roule roule roule à toute vitesse…

Au Colorado, une pause… Sur le bord de l’autoroute, une plaque historique. En filant vers le Nord, à 70 miles à l’heure ( lorsqu’on respecte les limites de vitesse ), au pied des montagnes Rocheuses à gauche, qui surplombent un plateau semi-aride à droite.

Route I-25 - Colorado

Route I-25 - Colorado - Rocheuses
Les montagnes à l’ouest de la I-25, face au camping à South Pueblo, Colorado… Fin de la première journée sur la I-25.

Deuxième journée

On traverse des zones plus urbanisées… Pueblo, Colorado Springs, Denver, Fort Collins… Des voies ferrées longent l’autoroute sur de longues distances…

Route I-25 CO Pueblo
Un train de la BNSF ( Burlington Northern and Santa Fe ), vient se coller contre l’autoroute, puis s’en éloigne aussitôt

 

À partir de Colorado Springs environ, on se rapproche des montagnes…

À Fort Collins, nous nous engageons sur une route qui nous amène à travers les montagnes, jusqu’à 8 500 pieds d’altitude, avant de redescendre sur un plateau, vers Laramie, au Wyoming.

Route I-25 CO Zone urbaine
En arrivant à Colorado Springs

5 réflexions sur “Road Trip : Deux jours sur l’autoroute I-25, de Santa Fe à Fort Collins

  1. Espaces magiques où je crois que l’homme blanc a du être ajouté par erreur, ou sur réclamation d’un syndicat déjà en projet, qui aurait trouvé cette foutue idée pour défier la nature et entrer dedans. Ah j’entends les chevaux sauvages me dirent t’as raison mon Bison.
    Bravo Fernan !

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  2. C’est un étonnant parti pris de photographe que ces routes kilométriques et souvent vides, en tout cas où l’humain est rarement présent sauf dans les bagnoles. Une nature domestiquée et confisquée aux grands espaces par l’homme blanc, omniprésent pourtant tel un Dieu tout puissant.

    Aimé par 1 personne

    1. Lorsqu’on l’observe attentivement, on constate une omniprésence humaine dans ces paysages, même les plus austères, semi-désertiques : poteaux de téléphone, clôture, des troupeaux de chevaux ou de vaches, de voies ferrées, des cimetières… En enfin, on passe à travers des espaces plus urbanisés. Il est vrai qu’on a domestiqué ces grands espaces, partout dans le monde. Mais il a plus de difficultés à le faire dans des régions moins « apprivoisables », tel que le Sud-Ouest quasi désertique américain.

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