Au salon du livre…

J’ai passé plus de huit heures au Salon du livre de Montréal, un samedi, il y a quelques semaines.

Étourdissement …

… un véritable labyrinthe ; la surface est vaste ; intimidante même, on peut s’y perdre facilement …

… une abondance de livres et une foule serrée, par instant étouffante — beaucoup de curieux, de badauds, de fouineurs, d’acheteurs, sans compter les professionnels des métiers du livre …

… des retrouvailles auxquelles je ne m’attendais pas, des conversations avec des auteurs, les tables-rondes d’auteurs sur des sujets divers, …

… flâner d’un kiosque à l’autre, tout en prenant des notes sur des livres, et des revues, à emprunter à la bibliothèque éventuellement, …

… un achat seulement, sur l’histoire de l’écriture !

Depuis plusieurs années, je fréquente beaucoup moins les salons du livre. Je fréquente aussi beaucoup moins les librairies. Je suis plutôt devenu un habitué des bibliothèques, la mienne comprise.

Est-ce pour cette raison que je me suis senti si étourdi ce jour-là ? Lire la suite …